[12/10] Manche 8 | Daytona Routier | Terminé

Spécificités de la manche :

Nombre de tours : 30
Evolution temporelle.

N'oubliez pas qu'un arrêt minimum est obligatoire, et que vous n'avez droit d'utiliser qu'une seule fois les pneus moyens en course.


Entrée et sortie des stands :

Respectez bien la ligne d'entrée, et de préférence restez sur l'intérieur en sortant du dernier virage. Pour la sortie, veillez à bien prendre la voie des stands jusqu'au bout, comme indiqué en pointillés rouges sur l'image du circuit ci-dessus.

Limites de piste :

Les surfaces n'étant pas considérées comme la piste sont : l'herbe, les bacs à sable, les murs. Une voiture est considérée en piste tant que deux roues sont incluses dans les limites de piste (vibreurs compris).


Lest des pilotes :





Inscriptions : (pseudo forum / ID PSN / voiture)

- GT-Alex / GT-Alex74 / Mazda
- Ailef / Ailef / Tomahawk SRT Même pas en rêve, sors ta tondeuse  
- alainv-du-69 / alainv-du-69 / TVR
- Aweoob / Aweoob / Corvette
- siberg / siberg / Maserati
- Ricket--42 / Ricket--42 / Honda
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présent !

Probablement pas là !

Sujet déverrouillé, vous pouvez vous inscrire

Probablement pas de BMW au départ de cette dernière manche...

Présent normalement !

Présent pour jouer la 2ème place à gillou.....

Classements postés. Bravo à tous, et merci d'avoir participé à ce championnat !

Pour ma part, qualifs moyennes lors de cette finale, avec une petite erreur sur chacun de mes deux tours. Mais la position sur la grille aurait pu être pire. Le choix des pneus au départ s'avère difficile : partir en moyen pour tenter de gratter de l'aspiration est tentant, mais je choisis finalement de jouer la sécurité en partant en durs, craignant d'être gêné dans les virages et de me faire larguer sur les sorties. Je préfère sortir l'atout grip lorsque le peloton sera plus aéré.

Sans surprise, la Corvette passe aux avants postes dès le départ, et les deux grosses cylindrées creusent le trou immédiatement. Un peu plus surprenant, la Honda de Lucio qui parvient à s'accrocher derrière eux, et Ricket qui semble lui avoir du mal à tenir derrière moi. Hormis une boulette de Sib que je gênerais sur quelques virages afin de profiter de manière éhontée de son aspi sur un tour, le premier relai sera une longue parade solitaire pour moi. Je ne me met pas la pression et roule de manière assez relaxée, évitant les erreurs.

Mi-course : je rentre pour chausser les moyens, et ressors juste à côté du Chat. Je jauge mal l'affaire avec mes nouveaux pneus et fais un tour dans l'herbe à l'épingle. Je met plus de temps à remonter sur la Mazda jaune que je ne l'aurais imaginé, et arrive à portée d'aspiration au moment où il rentre. Dommage. Mais alors que Lucio sort des stands, je vois qu'il n'est pas si loin, et je me rend compte qu'à ce moment là, je suis l'homme le plus rapide en piste : je passe en mode chasse, et me concentre sur mes chronos, prenant des risques sur les gros freinages. L'écart se réduit progressivement, je me dis que ça risque d'être très juste pour revenir à portée d'aspiration avant que mes pneus avant ne tombent, d'autant qu'il faudra encore doubler et rester devant ensuite. Mais je joue aussi la pression. A ma grande surprise, c'est la Corvette du Woob que je trouve encastrée dans le muret de la chicane (je perdrais un peu de terrain sur la S2000 pour ne pas le percuter). Tour 28, je sens que mon train avant me lâche, mais je continue : je manque de me tuer à la chicane, évitant de peu le tête à queue en m'écartant dans l'herbe. A deux tours de la fin, avec des pneus sur la mauvaise pente et deux secondes de perdues, je lâche l'affaire, usé par un enchainement de tours qualif, me félicitant déjà d'un podium inespéré. Mais voilà qu'au freinage suivant, je vois au loin la S2000 partir en travers dans un panache de fumée. Incrédule, ce n'est qu'en voyant la face avant de la Honda que je réalise : la deuxième place me tend les bras, malgré tous les désavantages qui pesaient sur mon auto sur cette course. Comme quoi, rien n'est jamais fini.

Après une course de Spa au goût amer, il fallait marquer un grand coup sur ce circuit visuellement compliqué.

Les premiers essais me font dire que la course va être serrée. Mais je suis en dur quand les autres sont en medium et mes chronos s'améliorent pendant ces essais.

Qualifs en medium, je sors un chronos que je n'avais pas approché de la soirée et l'écart avec le woob est conséquent.
Je n'ai pas de visibilité sur la tenue des medium sur la durée donc je pars en dur avec la ferme intention d'aller au bout du réservoir avec ce train de pneus.
Je fais un bon départ, prends un peu d'avance mais je me loupe au premier virage à l'entame du second tour.
Je perds la première place au bénéfice du woob et de Lucio qui tient la cadence.
Je repars assez vite pour recoller à mes 2 adversaires et prendre l'ascendant quand eux-mêmes vont fauter.
Le Woob me colle et je vais faire mon meilleur chrono à mi-relais histoire de marquer mon territoire.
C'est la bataille avec le woob qui me surprend par sa bonne tenue en piste, il me fallait un challenger pour me motiver et c'est le cas.  Nous échangeons encore nos positions puis j'entame mon seul arrêt à mi-course.
Je remets des durs et fait le niveau de carburant nécessaire pour finir.
Le Woob fera son arrêt au tour suivant et ressortira plus loin que je ne le pensais.

La piste est libre pour moi, Lucio est devant mais il a encore son arrêt à effectuer. Je vais encore faire une boulette quand je vois l'écart avec le Woob augmenter d'un coup puis être libérer quand il va devoir s'arrêter pour "problème technique"

Mon second est maintenant Lucio qui navigue à environ 20s.
Je n'ai plus qu'à gérer la fin de course et finir avec 30s sur non pas Lucio mais Alex qui a profité d'une erreur de l'alsacien.

Grand chelem pour la der et une seconde place au championnat bien méritée.

Avec nos 'moulins à café', je me doutais que les nippones seraient à la peine sur ce traçé. En essais, Sib me collait déjà une poignée de dixièmes dans l'infield et c'est au prix de manoeuvres difficiles à répéter en course que j'égalisais dans la chicane opposée ou en freinant façon 'supermotard' dans le 1er gauche.

En qualifs, ça sort P2 quand même (erreur du Woob à priori) avec de la marge sur les suivants, mais avec une belle valise collée par le dragster de chez Maserati sur le tour lançé.

De là, grosse hésitation pour partir en durs ou en moyens. Mais bon, c'est la finale, mon championnat est fichu depuis mon absence de SSR5 alors on y va à l'attaque, en moyens. Si les dragsters V8 partent devant, moi de faire le moustique à l'aspi. Et ça mettra la pression sur les autres GP2...

Bingo, ça donne P3 dans le rythme (à 3 dixièmes du meilleur tour, voire moins) un long moment. Sib ayant fauté à l'entame du second tour, je reste collé à quelques secondes du Woob, lachant et reprenant du temps au fur et à mesure des frayeurs respectives. Une première frayeur me fera croiser la route du Savoyard (spin dans la chicane opposée) qui me décrochera définitivement de la tête. Mais derrière, c'est le désert et seul Alex me semble dangereux. Il est trop lent pour être en moyens, lui, et la fin de course s'annonce acharnée si on devait se recroiser.

Après, il y a plein de mini boulettes (comme d'hab), la plus marquante étant celle de finir mes moyens au tour 19... Et de lacher 3 sec sur ce seul tour 19. Avec en prime 15L de trop (toujours traumatisé par mon splash & dash de Tokyo) qui me coute une seconde place.

Et alors que je stabilise l'écart et que j'égalise en durs mon MT en moyens, je n'y crois pas lorsque je vois le temps. Et à trop scruter le temps réalisé, je rate mon freinage au 1er gauche. Spin, Alex n'y croyait plus mais il passe devant. Podium pour finir, et, sans mon absence de SSR5 qui était un festival S2000, un championnat qui aurait été serré avec Ricket. Bravo à tous, survivants ou non...

Beau championnat avec un bel équilibre, j'ai adoré. Vite la suite, sur GTS. Merci Alex.

Comme prévu, Alex est plus proche. Par contre, je m'applique à découvrir les durs et arrive